Le début d’un cycle
Orglin est née de deux combattants de pays ennemis qui ont préféré arrêter de combattre alors qu’il ne restait plus qu’eux deux sur le champ de bataille. N’ayant jamais connu que ses parents et sa forêt natale, quand vient l’émissaire du pays dont est originaire son père, elle est d’abord intriguée. Quand la rencontre se finit en bain de sang, acculée au fond de la grotte où ils habitaient, Orglin se saisit de l’épée de sa mère et parvint à tuer les hommes qui la bloquaient.
Pour l’émissaire, c’est certain, Orglin est guidée par les Danseuses des Lames, entités divines qui aident les combattants, sous les ordre de Yencil, le dieu de la guerre que tout le monde vénère.
Une bonne entrée en matière
Orglin la primitive est le premier tome du cycle de Barcil, et c’est pour cela que j’ai voulu commencer par celui-là, bien qu’on puisse lire chaque tome séparément.
Le style d’écriture est fluide, sans fioritures inutiles, le découpage est précis, chaque scène est pensée pour être utile et efficace.
Même si je préfère en règle générale les romans longs, épineux et qui plongent un peu plus dans le passé des personnages, on comprend très bien ce qui motive chacun des protagonistes de l’œuvre.
Je ne m’attendais pas du tout à ce qui arrive à Orglin à la moitié du récit, c’est un très bon retournement de situation. Ou est-ce seulement un retournement, et pas juste ce que Yencil avait prévu ?
Tout ce que j’espère, c’est retrouver la même fluidité, le même impact dans les prochains tomes que je vais m’empresser de lire, et vous faire partager mon avis, puisque, je le rappelle, ce sont des tomes indépendants les uns des autres.
Editeur : Auto-Édition
ISBN : 978-2-9585744-0-6
Date de sortie : 24/12/2016
Lien de présentation : Site de l’auteur
Tomaison : 1/11
Prix : 1,99 € ou 5,49 €
Nombre de pages : 34 pages
Format : Numérique et Broché
Les Critiques de Lex 